Eh oui c'est le WE où Mélanie est devenue plus vieille que moi...
Il me faut encore quelques mois avant que je la rattrape. Pfff....
samedi 31 mai 2008
mercredi 28 mai 2008
Feuer Frei !
Attractions pour les touristes dans Victoria... j'ai eu le temps de partir avant qu'il ne me demande des sous !!! Je ne fais pas le poids face à un mec avec un lance-flammes...
dimanche 25 mai 2008
Le retour de l'homme au chapeau
Samedi soir, nous sommes allés célebrer le retour d'Indiana Jones, après 20 ans d'absence. Pour justifier les rides et l'embonpoint, l'action se passe logiquement 20 ans après "La Dernière Croisade". Pour ça Spielberg a été plus malin que Georges Lucas : il a fait l'épisode 4 APRES les 1-2-3 !
Grâce à un habile subterfuge, les méchants ne sont plus les nazis, mais sont transformés en russes. M'enfin le but est le même, et à l'image, on ne fait pas la différence : les gros méchants militaires veulent à tout prix le pouvoir et l'arme absolue, et ne vont pas arrêter d'embêter notre Indy favori dans sa quête.
L'histoire a du mal à démarrer, l'action s'embourbe, le film repose malheureusement sur un Harrison Ford fatigué qui résoud des énigmes avec le même entrain que quelqu'un qui va pisser, parle couramment des langues disparues depuis 3000 ans, et arbore la même mine déconfite du début à la fin. Indiana Jones n'y croit pas, Harrison Ford n'y croit pas, Spielberg lui même n'y croit pas, difficile dans ces conditions pour le public de se laisser porter par le film.
Une somme de clichés sur Indiana Jones ne suffit pas pour faire un Indiana Jones. Il est a déplorer qu'un scénar aussi peu subtil ait dû sortir des cartons. L'humour lourdingue pipi-caca fait beaucoup rire (et très fort) la salle, mais nous laisse complètement froid. Quant à la fin du film... je ne dévoile pas l'intrigue pour ceux qui seraient toujours tentés.
Bref, Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Crystal ne risque pas de vous provoquer des maux de crâne. A voir en DVD pour compléter la collec', mais ne dépensez pas 10€ pour le voir au cinoche.
Grâce à un habile subterfuge, les méchants ne sont plus les nazis, mais sont transformés en russes. M'enfin le but est le même, et à l'image, on ne fait pas la différence : les gros méchants militaires veulent à tout prix le pouvoir et l'arme absolue, et ne vont pas arrêter d'embêter notre Indy favori dans sa quête.
L'histoire a du mal à démarrer, l'action s'embourbe, le film repose malheureusement sur un Harrison Ford fatigué qui résoud des énigmes avec le même entrain que quelqu'un qui va pisser, parle couramment des langues disparues depuis 3000 ans, et arbore la même mine déconfite du début à la fin. Indiana Jones n'y croit pas, Harrison Ford n'y croit pas, Spielberg lui même n'y croit pas, difficile dans ces conditions pour le public de se laisser porter par le film.
Une somme de clichés sur Indiana Jones ne suffit pas pour faire un Indiana Jones. Il est a déplorer qu'un scénar aussi peu subtil ait dû sortir des cartons. L'humour lourdingue pipi-caca fait beaucoup rire (et très fort) la salle, mais nous laisse complètement froid. Quant à la fin du film... je ne dévoile pas l'intrigue pour ceux qui seraient toujours tentés.
Bref, Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Crystal ne risque pas de vous provoquer des maux de crâne. A voir en DVD pour compléter la collec', mais ne dépensez pas 10€ pour le voir au cinoche.
mardi 20 mai 2008
Juste pour dire
La cop's de Mélanie est repartie vendredi dernier, je laisse le soin à ma chère et tendre de nous faire un compte-rendu de ces 15 derniers jours. Mais comme la p'tite chérie est pas mal chargée en ce moment, ça risque de ne pas venir tout de suite (j'espère qu'elle me fera mentir).
En attendant, vous allez pouvoir déguster mes photos jusqu'à l'overdose, puisque j'ai enfin investi dans un compte pro chez FlickR. Gros avantage, plus de limitations du nombre de photos, et vous pouvez les télécharger en haute résolution. Du coup, voilà déjà le set spécial de ce week-end :
Pender Island on FlickR
Et je vais en réorganiser tout ça bientôt !
D'ici là, rock on guys !
En attendant, vous allez pouvoir déguster mes photos jusqu'à l'overdose, puisque j'ai enfin investi dans un compte pro chez FlickR. Gros avantage, plus de limitations du nombre de photos, et vous pouvez les télécharger en haute résolution. Du coup, voilà déjà le set spécial de ce week-end :
Pender Island on FlickR
Et je vais en réorganiser tout ça bientôt !
D'ici là, rock on guys !
lundi 19 mai 2008
Camping on Pender Island
Enfin !!! Soleil, ciel bleu et température dépassant les 20°C !!!! Aussitôt que la météo clémente fut confirmée, nous avons roulé les matelas, compressé les duvets, plié la tente et chaussé les chaussures de marche direction Pender Island, une des Gulf Island, situées entre le continent et l'île de Vancouver. Une demi-heure de ferry, et on y était !
On retrouve un climat délicieusement insulaire, où le temps semble avoir bloqué le compteur en 1973. L'île est quasi-vide, quelques champs clôturés, beaucoup de végétation qui déborde sur la route, l'impression d'une vie en miniature, retirée du reste du monde. On arpente les routes défoncées à bord d'une Mercury Sable à peine réparée. Direction l'île sud, où nous avions repéré un potentiel coin camping.
On commence la balade chargés à bloc, et on fait les chameaux (comprenez s'avaler 1L d'eau) avant de partir parce qu'il n'y a pas de flotte dans le campground. Puis nous voilà partis...
D'abord ça monte... puis ça monte très raide !
Heureusement la vue au sommet vaut le coup :
Puis on redescend de l'autre côté, la chaleur devient plus supportable, et l'odeur des pins se mêle à celle de la mer toute proche ! On se croirait dans les Landes... L'arrivée au camp suit un agréable chemin le long de la jolie baie qu'on voyait d'en haut.
Puis on se relaxe sur la plage, peinard, à peine dérangés par les bateaux qui font la teuf en face de nous. Ils sont bruyants ces gens !
Le soir, riz-au-réchaud et saucisses cramées avant de contempler le lever de lune sur la baie.
Le lendemain, départ vers midi, on fait cramer le papier Q pour ne pas laisser de trace (nous avons regardé les news, rien n'indiquait que l'île avait brûlé, c'est tout bon).
Et on repart dans l'aut' sens. Re-la montée, re-la belle vue, re-la descente. En 2h c'est plié. On décide puisqu'on a le temps de se faire une autre rando plus au nord. Mais en fait elle sera toute riquiqui, torchée en 1/4 d'heure, et y'avait même pas de belle vue en haut.
Voilà, donc on rentre, en ouvrant bien les fenêtres de la voiture. Et en arrivant : méga douche de la mort qui tue !!! Bon, personne n'est jamais mort de ne pas se laver, hein... Louis XIV lui-même....
On retrouve un climat délicieusement insulaire, où le temps semble avoir bloqué le compteur en 1973. L'île est quasi-vide, quelques champs clôturés, beaucoup de végétation qui déborde sur la route, l'impression d'une vie en miniature, retirée du reste du monde. On arpente les routes défoncées à bord d'une Mercury Sable à peine réparée. Direction l'île sud, où nous avions repéré un potentiel coin camping.
On commence la balade chargés à bloc, et on fait les chameaux (comprenez s'avaler 1L d'eau) avant de partir parce qu'il n'y a pas de flotte dans le campground. Puis nous voilà partis...
D'abord ça monte... puis ça monte très raide !
Heureusement la vue au sommet vaut le coup :
Puis on redescend de l'autre côté, la chaleur devient plus supportable, et l'odeur des pins se mêle à celle de la mer toute proche ! On se croirait dans les Landes... L'arrivée au camp suit un agréable chemin le long de la jolie baie qu'on voyait d'en haut.
Puis on se relaxe sur la plage, peinard, à peine dérangés par les bateaux qui font la teuf en face de nous. Ils sont bruyants ces gens !
Le soir, riz-au-réchaud et saucisses cramées avant de contempler le lever de lune sur la baie.
Le lendemain, départ vers midi, on fait cramer le papier Q pour ne pas laisser de trace (nous avons regardé les news, rien n'indiquait que l'île avait brûlé, c'est tout bon).
Et on repart dans l'aut' sens. Re-la montée, re-la belle vue, re-la descente. En 2h c'est plié. On décide puisqu'on a le temps de se faire une autre rando plus au nord. Mais en fait elle sera toute riquiqui, torchée en 1/4 d'heure, et y'avait même pas de belle vue en haut.
Voilà, donc on rentre, en ouvrant bien les fenêtres de la voiture. Et en arrivant : méga douche de la mort qui tue !!! Bon, personne n'est jamais mort de ne pas se laver, hein... Louis XIV lui-même....
mardi 13 mai 2008
Je bosse toujours quand vous bossez pas
A en croire qu'au Canada on bosse beaucoup, ou bien qu'en France on ne glande rien !
Non, je suis mauvaise langue, le week-end qui vient est un week-end de 3 jours au Canada, pour cause de Victoria day ("Hello Victoria..."). Bref, nous allons essayer de visiter un peu les alentours, soit à l'intérieur du continent, soit camper sur une des Gulf Island, entre Victoria et Vancouver.
En ce moment Mélanie a la visite d'une de ses ex-colloc de Luxembourg, Diane, pour qui nous avons fait guides touristiques. J'ai un peu de photos de retard, mais j'espère rattraper ça. Donc le Week-end dernier, visite de Vancouver : Granville Island + Downtown + Stanley park, avec un bon brunch chez Mélanie.
Et ce week-end nous sommes restés à Victoria, et avons profité de Metchosin Park pour la journée du dimanche (juste après un bon BK !). Il a fait super beau mais un vent de dingue ce qui fait qu'on s'est pelé toute la journée.
Et voilà, reprise du boulot aujourd'hui : Mélanie est rentrée en hydravion avec Diane, et moi j'essaie de comprendre ce qu'est un logiciel. Ben c'est plus compliqué que ce que je croyais.
"Je chuis ingénieur informatichieeeeeen... !"
Non, je suis mauvaise langue, le week-end qui vient est un week-end de 3 jours au Canada, pour cause de Victoria day ("Hello Victoria..."). Bref, nous allons essayer de visiter un peu les alentours, soit à l'intérieur du continent, soit camper sur une des Gulf Island, entre Victoria et Vancouver.
En ce moment Mélanie a la visite d'une de ses ex-colloc de Luxembourg, Diane, pour qui nous avons fait guides touristiques. J'ai un peu de photos de retard, mais j'espère rattraper ça. Donc le Week-end dernier, visite de Vancouver : Granville Island + Downtown + Stanley park, avec un bon brunch chez Mélanie.
Et ce week-end nous sommes restés à Victoria, et avons profité de Metchosin Park pour la journée du dimanche (juste après un bon BK !). Il a fait super beau mais un vent de dingue ce qui fait qu'on s'est pelé toute la journée.
Et voilà, reprise du boulot aujourd'hui : Mélanie est rentrée en hydravion avec Diane, et moi j'essaie de comprendre ce qu'est un logiciel. Ben c'est plus compliqué que ce que je croyais.
"Je chuis ingénieur informatichieeeeeen... !"
mercredi 7 mai 2008
The sleepless week...
La perfection est de ce monde.
Mélanie et moi l'avons touchée hier.
Je veux bien sur parler de Progressive Nation, organisée par Dream Theater avec mes suédois favoris, Opeth. Comme ça fait deux fois cette semaine que je me lève à 5h pour prendre le ferry, je suis un peu naze, mais ça valait le coup !
Mélanie et moi l'avons touchée hier.
Je veux bien sur parler de Progressive Nation, organisée par Dream Theater avec mes suédois favoris, Opeth. Comme ça fait deux fois cette semaine que je me lève à 5h pour prendre le ferry, je suis un peu naze, mais ça valait le coup !
jeudi 1 mai 2008
Bulletin Météo
1er mai, jour où le muguet fleurit, les oiseaux chantent, les arbres verdissent, les abeilles bourdonnent, les filles se dénudent les épaules, shorts et jupes apparaissent enfin. 1er mai jour férié, permettant à chacun de se rouler dans l'herbe, un brin de blé à la bouche, regarder un ciel bleu dégagé, laisser sa peau respirer enfin. On entend les rires d'enfants dans le pré, les piscines se remplissent, le voisin tond sa pelouse. C'est le début du temps des barbecues, pastis interminables sur la terrasse, on profite des longues soirées en se disant que finalement le DST ça a du bon. On laisse enfin les manteaux au placard, on commence à ressortir les lunettes de soleil, dépoussiérer les serviettes de plage et la crème solaire. Le 1er mai marque le renouveau, la renaissance de l'être humain qui finalement a besoin de lumière, après un hiver trop long et rigoureux. Au 1er mai le rhume des foins remplace le rhume tout court, la fatigue disparait pour laisser place au sourire et à la bonne humeur.
Bref...
Pas ici :
Humidité 71%, comprenez qu'il pleut, hein...
Bref...
Pas ici :
Humidité 71%, comprenez qu'il pleut, hein...
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